Avec Muriel de l’école des arts, nous participons à un atelier de musique, à l’école, tous les vendredis matins.

Nous avons créé un fond sonore relatif au poème  » grillon, moisson, hérisson, du spectacle DANCE FLORE des Filles d’Aplomb.

Cela est notre interprétation personnelle de ce moment du spectacle.

Vous y entendrez la nature qui s’éveille, le soleil qui se lève. Mais aussi le vent et les oiseaux qui chantent ainsi que les grillons et autres petites bêtes.

Au loin l’on perçoit les pas, tantôt discrets, tantôt très proches, de quelqu’un qui marche dans cet environnement peuplé de petites bêtes.

Depuis le mois d’octobre, tous les mardis matins sont consacrés à la danse.

Nous y apprenons à gérer l’espace, à donner une intention à nos gestes, à danser ensemble, …

C’est un moment important que nous attendons avec beaucoup d’impatience chaque semaine!

Nous avons travaillé en langage et en structuration du temps autour de l’album:  » la soupe au potiron » de Helen Cooper.

Cela a été l’occasion pour les enfants de préparer à leur tour une soupe au potiron.

Voici nos ingrédients:

un potimarron, un poireau, de l’eau et un peu de sel.

C’est un moment d’engagement collaboratif, où chacun a un rôle à tenir dans le respect des camarades.

Chacun a pu sentir ces légumes, les observer, les toucher.

Nous avons conservé des graines pour de futures plantations de printemps.

D’abord il a fallu couper, ôter les graines, laver le potiron et le poireau.

Nous avons aussi coupé en petits morceaux le poireau.

Puis nous avons mis tous ces petits morceaux de potiron et de poireau dans une casserole.

Enfin nous avons ajouté de l’eau et salé la préparation.

Enfin nous nous sommes régalés!

Ce nous avons appris ( en dictée à l’adulte):

Il y avait un moule à gâteau pour chaque occasion.

On cherchait de l’eau au puits et on la portait sur la tête.
Il n’y avait pas de robinets.
On travaillait le bois , on s’occupait surtout des animaux de la ferme.
On mangeait beaucoup de légumes: potirons, choux, patates et des  céréales et peu de viande.
Le fumier ( cacas d’animaux) était au milieu de la cour de la ferme

On mangeait dans la Stube, seule pièce qui était chauffée avec un fourneau.
Il n’y avait pas de frigos mais des pots gris( grès de Betschdorf) où l’on gardait la nourriture.

Nous avons aimé ce musée parce-que c’était bien expliqué, c’était comme une maison à l’intérieur.

la stube.